Le guide “Guidance on Key Considerations for the Identification and Selection of Safer Chemical Alternatives” publié par l’OCDE a pour but de fournir les principaux critères pour l'identification et la sélection d'alternatives.

Depuis le 3 février 2021, les articles textiles comportant des éthoxylates de nonylphénol à des concentrations égales ou supérieures à 0,01 % ne peuvent être mis sur le marché européen.

L'ECHA a publié les vidéos de la formation en ligne sur l'analyse des alternatives aux substances dangereuses

Depuis le 07 juillet 2020, le DIBP ne peut être utilisé dans les jouets et les articles de puériculture comme substance ou dans des mélanges (individuellement ou dans toute combinaison de DEHP, DBP et BBP) à une concentration égale ou supérieure à 0,1 % en poids de la matière plastifiée.

Le phtalate de dihexyle, ramifié ou linéaire (n° CAS 68515-50-4), le phtalate de dihexyle linéaire (n° CAS 84-75-3) et le mélange de phtalates de didécyle, de dihexyle et de dioctyle avec un pourcentage supérieur ou égal à 0,3 % de phtalate de dihexyle (n° CAS 68515-51-5 ; 68648-93-1) ont été ajoutés à la liste des substances soumises à autorisation de la Règlementation REACH.

En raison de sa toxicité pour la reproduction, le Phtalate de DiIsoHexyle (DIHP - n° CAS : 71850–09-4) a été ajouté à la liste des substances extrêmement préoccupantes (SVHC) candidates en vue d'une autorisation.

Depuis le 2 janvier 2020, les papiers thermiques dont la concentration en bisphénol A est égale ou supérieure à 0,02 % en poids ne peuvent être mis sur le marché européen

A compter du 1er novembre 2020, le bis(2-méthoxyéthyle) phthalate, le DiPP, le DPP, le DnHP et l’acide 1,2-benzènedicarboxylique, di-alkylesters C6-8 ramifiés, riche en C7 ne pourront être présents dans des textiles, vêtements, accessoires connexes et chaussures à des concentrations supérieures à 1000 mg/kg (individuellement ou en combinaison avec d’autres phtalates listés à l’annexe XVII de REACH).

Sur la base des résultats de sa récente étude sur le bisphénol B, l’ANSES a réalisé un projet d’analyse de la meilleure option de gestion des risques (RMOA) en vue de classer cette substance comme perturbateur endocrinien dans le cadre du règlement REACH.